Quatre milliards de conversations sur
le déplacement forcé
À CLEAR Global, nous aidons les populations à accéder aux informations vitales et à se faire entendre, quelle que soit la langue qu’elles parlent.
Le problème : la barrière linguistique freine l’intégration socio-économique
En 2022, plus de 100 millions de personnes ont été contraintes de fuir leur pays en raison d’un conflit, de l’insécurité alimentaire, d’une crise climatique ou d’autres situations d’urgence.
- En raison de la barrière linguistique, les réfugiés et les migrants ont des difficultés à accéder au marché du travail, à l’éducation, au soutien et aux services essentiels tels que la prestation de soins de santé et le logement.
- Les pays d’accueil et les organisations humanitaires manquent souvent des compétences et des ressources linguistiques permettant de mieux comprendre et aider les demandeurs d’asile.
« Nous avons fait des merveilles ici... les procédures de l'île sont enfin dans un format auquel tout le monde peut avoir accès. »
La solution de CLEAR Global
CLEAR Global mène des recherches sur les langues parlées par les populations ainsi que leurs préférences et besoins en information. Nos perspectives contribuent à la création de canaux de communication que les populations sont à l’aise d’utiliser pour obtenir l’information en laquelle elles ont confiance et qu’elles comprennent. De cette manière, les populations déplacées de force peuvent avoir accès à des ressources vitales adaptées à leurs besoins et à leur situation.
En Grèce, dans le cadre de notre programme Words of Relief, nous avons travaillé avec plus de 20 organisations et formé plus de 200 professionnels et bénévoles à la communication interculturelle. Nous avons traduit plus de 800 000 mots dans au moins huit langues pour répondre aux besoins d’informations du plus grand nombre possible de réfugiés.
Au Bangladesh et au Myanmar, nous travaillons depuis 2017 en collaboration avec des organisations soutenant les populations rohingyas. Nous continuons à offrir un soutien linguistique et poursuivons la recherche pour éclairer l’action humanitaire et améliorer la communication bidirectionnelle.
En Ukraine, nous avons mobilisé rapidement nos ressources pour aider les populations forcées de fuir le pays. Nous avons travaillé avec 49 organisations locales et internationales sur 276 projets d’intervention d’urgence qui ont mené à la traduction de 1,5 million de mots en 35 langues.
En Amérique latine, nous avons conclu un partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations en Équateur, au Mexique et au Pérou, pour créer Planeta Azul, un chatbot d’assistance virtuelle. Le chatbot a aidé les populations à obtenir des informations et des services vitaux et la frontière entre les États-Unis et le Mexique.